Mon aventure vers le zéro déchet

On sait tous que la planète va mal. Mais on a tous cette petite voix qui nous dit “c’est pas grave tu le feras demain”. La flemme, pas le courage de s’y mettre, on sait pas où acheter quoi et on pense que ça va être com-pli-qué. Compli-quoi ?! 

Les éléments déclencheurs de ma démarche

coco-trans

Les poubelles qui se remplissent à peine rentrée du supermarché
Quand vous rangez vos courses du supermarché, n’avez-vous pas remarqué que votre poubelle jaune se remplit d’un coup ? 
Emballage carton des pots de yaourts, du fromage frais, le plastique de la promo… 


Le gâteau au chocolat du supermarché et sa liste d’ingrédients longue comme le bras
C’est quand-même bizarre tous ces ingrédients dans ce brownie-tout-chocolat… Stabilisant, diphosphates, oeufs en poudre hmm… Vous trouvez pas ? Quand on fait un gâteau nous, on met maximum 5 ingrédients “normaux” dedans, et c’est très bon non ? Alors pourquoi infliger à notre corps tous ces composants étranges ? 


Le voyage qui m’a fait fuir les supermarchés et l’industriel

Quand tu vois :
– des femmes asiatiques se mettre du fond de teint couleur-peau-d’occidentale
– des grandes marques présentes dans les cahutes des villages les plus reculés
– des canettes, des paquets de chips, des déchets en tout genre le long de tes randonnées au fin fond du monde
Ca donne envie de réagir !!

D’un déo fait maison à l’animation d’ateliers zéro déchet

creme-trans

C’est au cours d’un voyage que j’ai rencontré une fille qui m’a fait essayer sa recette de déo maison. Voyant la simplicité et l’efficacité du mélange, c’est à partir de là que j’ai commencé à vraiment cogiter et à me poser des questions. 
De retour à la maison, j’ai fait une trentaine d’exemplaires du déo (la fille qui ne fait rien dans la demi-mesure…) pour offrir à mon entourage pour Noël.

Regarder de plus près les étiquettes des produits que j’utilisais au quotidien a fini de me convaincre, je ne voulais plus utiliser ces produits industriels ni contribuer à l’enrichissement des grandes marques. Petit à petit, j’ai alors cherché comment remplacer tout ce que j’avais l’habitude d’acheter et j’ai découvert que l’on pouvait finalement TOUT faire nous-même assez simplement. C’est ainsi que je me suis éloignée petit à petit des supermarchés. A mon sens, tout ce qui en est issu est remplaçable. Mettez-moi au défi si vous êtes joueur 😉 

Ce mode de consommation s’est transformé peu à peu en véritable mode de vie. Quel plaisir de se reconnecter à soi, aux autres et aux choses qui ont du sens

Et puis un jour à une soirée chez un ami j’ai rencontré Audrey Le Bris, fondatrice du Jardin des Happycuriens. En lui parlant de ma manière de vivre, elle m’a demandé si ça me dirait de venir parler de mon mode de vie à son réseau et d’apprendre aux participants comment réaliser 2/3 produits tout simples. L’idée de partager les recettes que j’utilisais au quotidien, de susciter de la curiosité, des questionnements, de donner envie aux autres de consommer autrement, de partager des trucs et astuces m’a tout de suite emballée et c’est ainsi que j’ai animé mon premier atelier « sensibilisation au mode de vie zéro déchet ». Une vingtaine de personnes présentes et à la fin, plusieurs d’entre elles sont venues me voir pour me remercier de leur avoir créé “le déclic”, de leur avoir montré que c’était simple et accessible, que je leur avais donné l’envie de passer à l’action. C’était incroyable de découvrir que je pouvais être la source de déclics !! Puis le bouche à oreilles faisant, j’ai animé d’autres ateliers avec toujours le même plaisir de transmettre. Je me suis formée en parallèle en cosmétique naturelle auprès de Christine Chostakoff, cosmétologue.

Aujourd’hui et depuis 5 ans maintenant, toujours dans cette même démarche d’échange et de partage, je vous propose mes prestations pour vous accompagner vers un mode de vie plus durable.